Écrivain autrichien, il fut membre du cercle de la « Jeune Vienne », un regroupement d’artistes autrichiens. Son roman : Le Jardin de la connaissance fait autorité. Entre les deux guerres, il évolue vers une pensée chrétienne conservatrice, proche des penseurs monarchistes français tels que Joseph de Maistre ou Louis de Ronald.   http://www.hommenouveau.fr/